Biographie : Maxime Tshibangu

C’est par la musique, bassiste dans un groupe de reggae, où il se distingue par son tempérament clownesque que Maxime découvre la scène. Après avoir passé une maitrise d’histoire contemporaine dans la région Nord d’où il est originaire, il arrive à Paris, se lance dans le théâtre et intègre la classe libre du cours Florent. Dès sa sortie, Il tourne pour la télévision dans L’école du pouvoir de Raoul Peck, dans PJ de Pascal Heylbroeck et Thierry Petit. L’année suivante on le retrouve dans Boulevard du palais de Thierry Petit, Pigalle d’Hervé Hadmar et Équipe médicale d’urgence d’Étienne Dhaene. Puis dans Julie Lescaut, L’attaque d’Alexandre Pidoux , Ainsi soient-ils et enfin Dos au mur de Pierre-Yves Touzot. Au cinéma il joue pour Mathieu Vetter dans Paroles, paroles, pour Cédric Klapish dans Paris et pour Abd Al Malik dans Qu’Allah bénisse la France. Parallèlement il continue à bruler les planches avec Benjamin Porée dans Hiroshima mon amour de Marguerite Duras au théâtre de Nesle, avec Jean-François Mariotti dans Gabegie 10 et Une histoire du monde au studio de l’Ermitage, avec Léon Masson dans La nuit s’est abattue comme une vache et Il faut penser à partir au festival d’Avignon, au théâtre du Marais à Paris et avec Sofia Norlin dans Klimax au centre culturel suédois. En 2013, il est engagé par la compagnie Louis Brouillard-Joël Pommerat où il participe à la création de deux spectacles : La réunification des deux Corées créé au théâtre de l’Odéon à Paris puis de Ça ira-fin de Louis, créé au Manège de Mons et joué aux Amandiers de Nanterre et tous deux en tournée en France et à l’étranger. Il prépare actuellement Le voyage de Miriam Shulte (titre provisoire), un travail d’écriture collective sous la direction de Linda Blanchet.